Cheikh Mohamed Bin Issa Al Jaber
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13/04/2016

Une bonne gouvernance exige des actifs onshore

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Dans un article du Financial Times publié le 13 avril, le Cheikh Mohamed Bin Issa Al Jaber prie les grandes fortunes de ramener leurs actifs onshore.

L’article explique que le Cheikh Mohamed a demandé à ses connaissances fortunées et milliardaires de ramener leur richesse sur le territoire, en partie pour renforcer la bonne gouvernance. Il confie avoir lui-même fermé ses fonds offshore pour placer sa trésorerie onshore il y a quelques années, et ne possède désormais que quelques actifs offshore.

« Je pense que beaucoup de gens vont suivre », ajoute-t-il. « Ici [au Royaume-Uni], vous avez le pouvoir du gouvernement, l’Etat de droit et la bonne gouvernance derrière vous ainsi qu’une garantie de systèmes stables. »

Le Cheikh Mohamed a clairement exprimé qu’il était important pour lui d’agir au nom de la loi, en particulier au vu de ses antécédents activistes dans la région du Golfe où il a fréquemment milité pour une meilleure imposition. « Cela fait quinze ans que je demande un régime fiscal dans les états du Golfe, une requête que mes associés considèrent comme inconsciente. Mais c’est une façon de faire économiser la société et de se récompenser soi-même et ses enfants. Cela permet de lutter contre la corruption – et de créer une véritable comptabilité. »

Son avis est soutenu par Richard Ross, philanthrope et président du Rosetrees Trust, un fond finançant la recherche médicale. « Personne n’aime payer des impôts, mais c’est un mal nécessaire », explique-t-il. « La campagne antitabac a mis 30 ans avant de devenir efficace. Si les avocats, les banquiers et les comptables avaient certaines directives, ils seraient capables de saisir les personnes commettant des fraudes dans un futur proche. »

Le Cheikh Mohamed confie également qu’à l’amélioration de la bonne gouvernance, s’ajoutent des raisons commerciales convaincantes. Il explique que pour lui, « cela relève du sens des affaires » de garder ses actifs au Royaume-Uni. Ses déclarations suivent la fuite sans précédent de documents issus du cabinet de droit panaméen Mossack Fonseca, qui a révélé l’utilisation répandue de fonds offshore comme gardien de fortunes.

Le Cheikh Mohamed, fondateur et directeur général du MBI Group, cite également une raison stratégique à sa prise de position. Consolider les actifs à Londres prodiguerait un « avantage de taille ». « Je pense que c’est moins coûteux à long terme, mes collaborateurs assimilent même cela à de l’épargne », ajoute-t-il.


http://www.ft.com/cms/s/0/9ec967f0-00a2-11e6-99cb-83242733f755.html


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